➡ L’expérimentation animale utilise des animaux non humains dans des expériences qui les stressent et les blessent.
➡ Avant toute expérimentation, la loi française impose l’évaluation du projet par un comité d’ « éthique ».
➡ Les personnes qui défendent l’expérimentation animale disent que ces comités garantissent l’éthique des expériences et le respect du « bien-être animal ».
➡ Pourtant, les animaux sont mal protégés par ces comités, comme le montre la comparaison avec les comités qui évaluent les expériences sur des personnes humaines.
➡ Les comités pour les humain·e·s (Comités de Protection des Personnes) respectent un principe de base : aucun mal n’est justifié s’il n’y a pas une contrepartie pour la personne qui le subit.
➡ En plus, la personne concernée doit consentir librement après qu’on lui a expliqué clairement les avantages et les inconvénients.
➡ Si elle ne peut pas consentir (par exemple si elle est dans le coma), ses proches peuvent consentir pour elle, mais seulement si l’expérience peut lui être très bénéfique.
➡ En expérimentation animale, au contraire, les comités d’éthique acceptent par définition la souffrance et la mort des animaux.
➡ D’autres règles s’appliquent, mais elles font toujours passer les objectifs de la #recherche avant la vie des animaux.
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