Le spécisme et l’« éthique » en expérimentation animale (3/3)
Sous-évaluer les capacités des animaux destinés à l’expérimentation et les essentialiser par le spécisme ne sont pas des justifications raisonnables.
Sous-évaluer les capacités des animaux destinés à l’expérimentation et les essentialiser par le spécisme ne sont pas des justifications raisonnables.
Les différences d’intelligence ne justifient pas de discriminations entre humains et ne devraient pas en justifier plus entre individus de différentes espèces.
On peut faire souffrir des animaux dans les laboratoires à cause du spécisme, qui tente de se raccrocher à des différences réelles ou imaginées entre espèces.
Le respect des 3R en expérimentation animale ne répond pas à la vulnérabilité des individus utilisés, qui devrait leur accorder des droits supplémentaires.
Les comités qui évaluent les projets d’expérimentation animale font passer les objectifs de la recherche avant les intérêts même fondamentaux des animaux.